Saint-André-de-Restigouche 

Un peu d’histoire

L’agriculture, encore majeure aujourd’hui, constitue la ressource maîtresse qui a permis le développement économique de Saint-André-de-Restigouche.

S’y est ajoutée la foresterie, qui génère aussi une importante activité. Depuis plusieurs générations, les fermes familiales et les érablières occupent une bonne partie du territoire.

Les organisations

Dans l’édifice municipal, on y trouve le local du Club des 50 ans et +, en plus du local du Cercle de Fermières.

Loisirs et attraits

Également dans l’édifice municipal, on retrouve une bibliothèque et l’exposition Mémoire de village sur les premiers arrivants de Saint-André. Le parc Carissima, avec des jeux pour enfants, se trouve à proximité de l’édifice municipal.

À côté du site de l’église, dans un ancien bâtiment de la fin des années 1920, se retrouve maintenant le gîte et café Chez Marie-Louise. Jadis, on y trouvait le premier bureau de poste de Saint-André-de-Restigouche, jusqu’en 1935.

Traversée par le Sentier international des Appalaches, la municipalité est aussi reconnue pour ses chutes et son belvédère Cœur des Plateaux, qui offre une vue époustouflante.

Le comité des loisirs et le Cercle de Fermières sont très actifs dans l’organisation d’activités et d’expositions. Le chalet sportif (La Cabane) est un lieu où sont organisés principalement des événements.

À l’extrémité de la municipalité, on retrouve une terre de la Couronne très convoitée par les personnes adeptes de la chasse.

À propos du toponyme

Le nom « André » fut donné en l’honneur d’un ancien évêque de Rimouski, Mgr André-Albert Blais, et le nom de Restigouche provient du nom de la rivière qui signifie en langue micmaque « désobéis à ton père ».